Quand l’Europe s’invite à la table de l’EPMT


À l’École de Paris des Métiers de la Table, l’année a été riche en événements marquant le lien étroit entre l'Europe, la mobilité, la gastronomie et la formation.

Participation au 1er Forum de France de l’Alimentation, accueil d’étudiants milanais sur le campus, organisation d’une master class dédiée à la cuisine lituanienne... Ces moments privilégiés illustrent comment l'EPMT place la dimension européenne au cœur de son approche éducative, enrichissant ainsi l'expérience de ses apprenties et apprentis.

Cette année, ce sont sept jeunes en BTS hôtellerie-restauration qui sont revenus ravis de leur séjour professionnel en Italie, en Espagne et à Malte. Fin juin, ils achevaient leur parcours d’euro-mobilité Erasmus+ avec la soutenance de leur rapport de stage. Un Europass Mobilité leur sera remis au terme de leur formation comme un supplément à leur diplôme.

À quelques jours de la fin de l’année scolaire, l’EPMT garde une forme olympique et poursuit ses actions en faveur de la mobilité européenne, dans le cadre du projet Mon Apprentissage en Europe (MONA, 2022), proposition de l’EuroAppMobility - sur le modèle du programme Erasmus dans l’enseignement supérieur - pour intégrer le principe d’une mobilité européenne dans les filières de l’alternance.

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Beaucoup de projets pour l’an prochain : l’EPMT prévoit de porter à la moitié de l’effectif, le nombre de départs en mobilité longue de sa section de Mise à Niveau; un séjour d’application en groupe en Italie, à l’Institut des Métiers de l’Hôtellerie et de la Gastronomie de Carlo Porta à Milan, en retour à l’accueil d’un groupe de cette école. Les ateliers s’y dérouleront en italien !

De quoi largement enrichir le parcours professionnel de nos apprentis et apprenties en leur offrant une ouverture culturelle inestimable, forgeant ainsi les artisans de demain avec une vision globale et une expertise diversifiée de leurs métiers.

Un grand merci à l’Opco EP et à l’EuroAppMobility présidée par Jean Arthuis (ministre de l’Économie en 1995 et ex-eurodéputé) de l’aider à lever les freins à la mobilité de ses alternants.